Les religions et les cultes
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Les cultes connus et un peu moins connu
LES RELIGIONS
Les Cultes sont connus et moins connus, mais l'on considère qu'à Westeros et Essos, chaque personne prie. Alors nous avons, pour vous, fait une liste des religions les plus connus et des moins connus mais existantes. Les religions principales que vous pourrez croiser seront expliquées en détail.
R'hllor - Culte dominant à Essos
Dieu Noyé - Culte dominant aux Îles de Fer
Dieu Multiface - Culte Braaviens
Les Sept - religion dominante à Westeros
Anciens dieux - religion dominante au Nord
Les moins connues, (dieu cheval, chèvre noire)
R'hllor - Culte dominant à Essos
Dieu Noyé - Culte dominant aux Îles de Fer
Dieu Multiface - Culte Braaviens
Les Sept - religion dominante à Westeros
Anciens dieux - religion dominante au Nord
Les moins connues, (dieu cheval, chèvre noire)
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Le Culte de R'hllor
Tous les hommes doivent mourir. Tous les hommes doivent servir.
Les Bases
La religion de R'hllor se fonde sur une conception dualiste du monde : celui-ci est gouverné par deux principes opposés, l'un étant bénéfique et l'autre maléfique. Au principe bénéfique sont associés la lumière, le jour, le blanc, le feu, l'amour, le doux, le féminin, le plaisir, l'été, le bien, la vie. Le principe maléfique se manifeste par l'obscurité, la nuit, la couleur noire, la glace, la haine, l'amer, le masculin, la peine, l'hiver, le mal, la mort. Ces deux principes sont en guerre depuis l'origine des temps, et ce, jusqu'à leur terme. Du côté du bien se trouve R'hllor, Maître de la Lumière, Cœur du feu et dieu de la Flamme et de l'Ombre, qui a créé le soleil, les étoiles et l'humanité; du côté du mal, là est l'Autre. Chaque homme est appelé à choisir son camp dans cette guerre. Les divinités des autres religions ne sont que de faux dieux, ou des manifestations de l'un des deux seuls véritables êtres divins.
Les croyances millénaristes propres à cette religion évoquent l'ancien champion de R'hllor, Azor Ahai, dont l'épée enflammée Illumination est censée repousser les ténèbres. Azor Ahai doit ressusciter lorsque les ténèbres menaceront à nouveau le monde afin de mener le combat ultime.
Pour les prêtres rouges, le Fléau de Valyria fut une manifestation du courroux divin.
Azor Ahai le Guerrier de la Lumière et le Fils du Feu, est un personnage légendaire issu des croyances des prêtres rouges du culte de R'hllor. Selon ces légendes importées de l'Orient, Azor Ahai fut le champion de la lumière à une époque où les ténèbres menaçaient de recouvrir le monde. Afin de repousser ces ténèbres, il forgea une épée magique nommée Illumination. Pour cela il passa trente jours et trente nuits à marteler la lame dans les feux d'un temple, mais au moment de la trempe dans l'eau, l'acier se fendit. Sa deuxième tentative dura cinquante jours et cinquante nuits, mais cette fois là il fit la trempe dans le cœur d'un lion, sans plus de succès. Après cent jours et cent nuits de forge, Azor Ahai comprit qu'il devait sacrifier sa femme Nissa Nissa, qui lui était l'être le plus cher au monde, pour tremper sa lame. Grâce à cette épée il put repousser les ténèbres. D'après Le Compendium de Jade, il aurait notamment embrasé le corps d'un monstre grâce à la chaleur brûlante dégagée par sa lame.
D'après des prophéties vieilles de près de cinq mille ans, les prêtres rouges croient que, lorsque les ténèbres menaceront à nouveau le monde, Azor Ahai sera ressuscité et qu'il se lèvera à nouveau contre l'obscurité. Les légendes liées à cette réincarnation semblent évoquer la naissance du « prince qui fut promis » dans un lieu environné de fumée et de sel, une étoile sanglante, ainsi que le réveil de dragons issus de la pierre.
+ attention, ce culte n'existe pas encore véritablement à Westeros.
Les croyances millénaristes propres à cette religion évoquent l'ancien champion de R'hllor, Azor Ahai, dont l'épée enflammée Illumination est censée repousser les ténèbres. Azor Ahai doit ressusciter lorsque les ténèbres menaceront à nouveau le monde afin de mener le combat ultime.
Pour les prêtres rouges, le Fléau de Valyria fut une manifestation du courroux divin.
D'après des prophéties vieilles de près de cinq mille ans, les prêtres rouges croient que, lorsque les ténèbres menaceront à nouveau le monde, Azor Ahai sera ressuscité et qu'il se lèvera à nouveau contre l'obscurité. Les légendes liées à cette réincarnation semblent évoquer la naissance du « prince qui fut promis » dans un lieu environné de fumée et de sel, une étoile sanglante, ainsi que le réveil de dragons issus de la pierre.
Selon la GDN
LES PRATIQUES
Il faut des années avant de parvenir à être prêtre(sse). Peu de personne y parviennent. Les pratiques consistent à lire dans les flammes et certaines pratiques poussent à contrôler les ombres. Le dieu de la lumière fait passer des messages à travers les flammes et les ombres et les prêtres et prêtresses rouges les retransmettent. Seuls les prêtres parviennent à lire dans les flammes et retranscrire la parole du dieu lumière.
Si le dieu lumière est connu pour être appeler R'hllor, peu osent prononcer ce nom, au même titre que peu osent prononcer, par crainte, les prénoms des grands prêtres rouges.
Aussi, le dieu de la lumière est souvent couvert d'offrandes, ces offrandes sont donnés par le feu, comme pour purifier. Cela peut être des animaux ou des êtres humains que l'on donne en sacrifice, comme cela peut être des objets. Par exemple, Stannis a donné à brûler des statuts des 7 datant de plusieurs siècles, en sacrifice. Il est dit que plus le sacrifice est grand et plus la récompense est grande.
Le sacrifice est une notion familières pour les adeptes de ce culte et beaucoup s'y adonnent. Si certaines personnes trouvent cela affreux et cruels, le sacrifice pour les adeptes est vu comme un don et un honneur.
Si le dieu lumière est connu pour être appeler R'hllor, peu osent prononcer ce nom, au même titre que peu osent prononcer, par crainte, les prénoms des grands prêtres rouges.
Aussi, le dieu de la lumière est souvent couvert d'offrandes, ces offrandes sont donnés par le feu, comme pour purifier. Cela peut être des animaux ou des êtres humains que l'on donne en sacrifice, comme cela peut être des objets. Par exemple, Stannis a donné à brûler des statuts des 7 datant de plusieurs siècles, en sacrifice. Il est dit que plus le sacrifice est grand et plus la récompense est grande.
Le sacrifice est une notion familières pour les adeptes de ce culte et beaucoup s'y adonnent. Si certaines personnes trouvent cela affreux et cruels, le sacrifice pour les adeptes est vu comme un don et un honneur.
- Le Mariage:
- La cérémonie du mariage dans la religion de R'hllor est similaire à celle de la religion des Sept, avec les différences suivantes : l'autel est constitué par un grand feu dans une fosse, derrière lequel prend place le prêtre ou la prêtresse rouge, l'assistance se disposant devant.
L'introduction est plus ou moins longue, ponctuée de chants et de litanies :
« La nuit est sombre et pleine de terreurs. Seuls nous naissons et seuls nous mourrons, mais en traversant cette vallée obscure, nous puisons notre force l'un de l'autre et de toi notre maître.
Ils sont deux qui s'avancent ce jour pour unir leurs vies, afin d'affronter ensemble les ténèbres de ce monde.
Emplis de feu leurs cœurs, seigneur, qu'ils puissent suivre ta voie brillante pour toujours main dans la main.
— Maître de la Lumière, protège-nous. » (répons)
— Maître de la Lumière, bénis tes enfants. » (répons).
Puis l'officiant déclare : « Qu'ils approchent, ceux qui veulent s'unir. ». Le promis, puis la promise s'avancent, cette dernière conduite à l'autel par son père. « Qui amène cette femme pour la marier ? » demande alors l'officiant, et le père se nomme, puis déclare « Voici que se présente Unetelle, de la maison X. (suivi de ses titres éventuels), une femme adulte et fleurie, de noble sang et noble lignée ». « Qui vient revendiquer cette femme ? » poursuit le prêtre. Le promis se nomme alors. L'officiant lui demande : « Untel, veux-tu partager ton feu avec Unetelle, et la réchauffer quand la nuit sera sombre et pleine de terreurs ? — Je le jure. » L'officiant pose la même question à la promise, puis, après le recueil de son consentement, dit : « Alors, venez à moi, et ne faites qu'un. » Les promis sautent alors au-dessus du feu, rejoignant l'officiant de l'autre côté. Celui-ci conclut la cérémonie en déclarant « Deux sont entrés dans les flammes. Il en émerge un. Ce que le feu a uni, nul ne peut le disjoindre. » L'assistance répète cette phrase, et le marié enveloppe son épouse d'un manteau à ses couleurs, avant que tous deux s'embrassent, et que l'assistance entonne un chant de louanges.
LES LIEUX
LES TÊTES IMPORTANTES
LES SPECIFICITES
Les prêtres et prêtresses ne craignent pas la chaleur, les poisons sont inefficaces sur eux. Aussi, la magie revenue à Essos, les prêtres et prêtresses sont capable de ne plus manger ni dormir. Ils portent aussi des médaillons pouvant les protéger des poisons et des effets du temps.
On remarque surtout l'utilisation de rouge, dans les vêtements, les cheveux, les yeux. Les prêtres et prêtresses ont une apparence familière et une certaine aura mystérieuse. Les cheveux rouges sont pour les plus excessifs mais les yeux rouges reviennent régulièrement chez les Prêtres Rouges.
Certains prêtres se spécifient dans l'Ombre, tel que Melisandre d'Asshaï et Mirri Maz Durr, dans les oeuvres que vous connaissez, en 298. Cette pratique consistent à invoquer les ombres et leur faire prendre forme. Cette magie prend surtout forme à l'union d'un homme et d'une femme. Il n'y a aucune arme connue pour agir contre les ombres, seuls les enfants de la forêt peuvent s'en protéger, mais cela reste surtout un mythe plus qu'une affirmation.
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Le Dieu Noyé
Ce qui est mort ne saurait mourir
LES BASES
Les rites de la religion du dieu Noyé sont pratiqués sur le rivage par les prêtres ; il n'est nulle part fait mention de lieux de cultes spécifiques.
LES PRATIQUES
Les rituels sont particuliers.
Les prêtres et les disciples sont consacrés au dieu par immersion dans la mer jusqu'à la noyade pour renaître ensuite (une réanimation par massage cardiaque ou respiration artificielle). Durant la noyade est psalmodiée la prière suivante : « Seigneur Dieu qui t'es noyé pour nous, daigne accorder la grâce à ton serviteur de ressusciter de la mer ainsi que tu l'as fait toi-même. Puisse-t-il jouir ainsi de la bénédiction du sel, puisse-t-il ainsi jouir de la bénédiction de la pierre, puisse-t-il ainsi jouir de la bénédiction de l'acier ». Lorsque le fidèle reprend conscience, la litanie suivante est alors récitée : « ce qui est mort ne saurait mourir mais se lève à nouveau, plus dur à la peine et plus vigoureux ». Les enfants des Fer-nés sont traditionnellement baptisés par immersion dans l'eau de mer quelques jours après leur naissance, bien que cette pratique ancestrale tende à être remplacée par une simple aspersion d'eau salée.
Les navires sont également baptisés à l'eau de mer.
Les prêtres peuvent offrir des sacrifices humains au dieu Noyé : ils tranchent la gorge de serfs et offrent leur cadavre aux flots. Des prisonniers de guerre peuvent également être sacrifiés : ils sont alors noyés sans être égorgés, en hommage à leur vaillance.
Les prêtres et les disciples sont consacrés au dieu par immersion dans la mer jusqu'à la noyade pour renaître ensuite (une réanimation par massage cardiaque ou respiration artificielle). Durant la noyade est psalmodiée la prière suivante : « Seigneur Dieu qui t'es noyé pour nous, daigne accorder la grâce à ton serviteur de ressusciter de la mer ainsi que tu l'as fait toi-même. Puisse-t-il jouir ainsi de la bénédiction du sel, puisse-t-il ainsi jouir de la bénédiction de la pierre, puisse-t-il ainsi jouir de la bénédiction de l'acier ». Lorsque le fidèle reprend conscience, la litanie suivante est alors récitée : « ce qui est mort ne saurait mourir mais se lève à nouveau, plus dur à la peine et plus vigoureux ». Les enfants des Fer-nés sont traditionnellement baptisés par immersion dans l'eau de mer quelques jours après leur naissance, bien que cette pratique ancestrale tende à être remplacée par une simple aspersion d'eau salée.
Les navires sont également baptisés à l'eau de mer.
Les prêtres peuvent offrir des sacrifices humains au dieu Noyé : ils tranchent la gorge de serfs et offrent leur cadavre aux flots. Des prisonniers de guerre peuvent également être sacrifiés : ils sont alors noyés sans être égorgés, en hommage à leur vaillance.
LES LIEUX
Les lieux sont peu nombreux, à dire vrai, ce culte s'étend uniquement sur les Îles-De-Fer. Il n'y a pas de temple, la mer étant considéré comme tel.
LES TÊTES IMPORTANTES
Les personnes communiquant ce culte sont des prêtres prédicateurs et leurs disciples, les Noyés, qui arborent une trique de bois flotté, arme symbolique fournie par la mer et destinée à lutter contre tous les ennemis du dieu. Les prêtres et leurs Noyés sont généralement revêtus de robes de bure teintes en gris, bleus et verts de différentes nuances, souvent à l’état de loques, couleurs spécifiques de la mer et du dieu Noyé. Ce sont des prêtres itinérants, considérés comme illettrés. La religion du dieu Noyé ne dispose pas de livres sacrés, la tradition étant orale.
LES SPECIFICITES
Le culte n'existe qu'aux Îles de Fer et on ignore d'où il tient véritablement ses origines.
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Le Dieu Multi-Face
Tous les hommes doivent mourir. Tous les hommes doivent servir.
LES BASES
Le dieu Multiface, évoqué aussi comme « Celui-qui-a-Maints-Visages » ou tout simplement le « Multiface », est une divinité psychopompe vénérée à Braavos dans la Demeure du Noir et du Blanc. Il est à la fois un et plusieurs puisque de nombreuses divinités d'autres panthéons ne seraient que ses avatars. Le culte lui-même ne semble pas être très connu en dehors de Braavos, mais est profondément respecté par les Braaviens, même par ceux qui sont adeptes d'autres religions.
Bien que le culte du dieu Multiface soit lié à la cité libre de Braavos, son origine est bien antérieure à la fondation de la cité. Si on peut en croire les légendes des serviteurs du dieu Multiface, son origine remonterait à la glorieuse époque des Possessions de Valyria. A cette époque, de nombreux esclaves originaires de contrées différentes étaient tués à la tâche dans les mines de métaux des Quatorze Flammes. Tous ces peuples réduits en esclavage par les Valyriens adoraient des divinités différentes auxquelles ils adressaient des prières pour demander la délivrance de leurs maux. La légende prétend qu'un de ces esclaves (ou bien un contremaître ou encore un jeune noble suivant la version) aurait pris conscience qu'une divinité unique aux multiples visages se cachait derrière la centaines de divinités adorées par les esclaves. Afin d'exaucer la volonté de cette divinité, il se mit à offrir la délivrance des douleurs terrestres, d'abord à certains esclaves qui la demandaient, et devint ainsi le premier Sans-Visage. Mais, un jour, il entendit un esclave demander avec ferveur, non sa propre mort, mais celle de son maître, et il comprit que cette mort serait agréable au dieu Multiface. Il exauça donc la prière de l'esclave, et ce dernier devint le deuxième membre de l'ordre.
Le dieu Multiface est donc une divinité syncrétique, transcendant divers cultes du monde. Il semblerait qu'il se soit formé ensuite un petit noyau de fidèles qui suivit les adeptes des Chantelunes lors de leur exil des Possessions qui amena la fondation de Braavos.
Bien que le culte du dieu Multiface soit lié à la cité libre de Braavos, son origine est bien antérieure à la fondation de la cité. Si on peut en croire les légendes des serviteurs du dieu Multiface, son origine remonterait à la glorieuse époque des Possessions de Valyria. A cette époque, de nombreux esclaves originaires de contrées différentes étaient tués à la tâche dans les mines de métaux des Quatorze Flammes. Tous ces peuples réduits en esclavage par les Valyriens adoraient des divinités différentes auxquelles ils adressaient des prières pour demander la délivrance de leurs maux. La légende prétend qu'un de ces esclaves (ou bien un contremaître ou encore un jeune noble suivant la version) aurait pris conscience qu'une divinité unique aux multiples visages se cachait derrière la centaines de divinités adorées par les esclaves. Afin d'exaucer la volonté de cette divinité, il se mit à offrir la délivrance des douleurs terrestres, d'abord à certains esclaves qui la demandaient, et devint ainsi le premier Sans-Visage. Mais, un jour, il entendit un esclave demander avec ferveur, non sa propre mort, mais celle de son maître, et il comprit que cette mort serait agréable au dieu Multiface. Il exauça donc la prière de l'esclave, et ce dernier devint le deuxième membre de l'ordre.
Le dieu Multiface est donc une divinité syncrétique, transcendant divers cultes du monde. Il semblerait qu'il se soit formé ensuite un petit noyau de fidèles qui suivit les adeptes des Chantelunes lors de leur exil des Possessions qui amena la fondation de Braavos.
LES PRATIQUES
Religion austère et sacrificielle, le culte du dieu Multiface exige de ses serviteurs une dévotion totale allant jusqu'à l'annihilation de leur personnalité. Leurs offices consistent en l'entretien du temple et de son atmosphère paisible, ainsi qu'en la toilette des morts et la récupération de leurs effets personnels qui semblent constituer une forme de don au culte pour ses services mortuaires. Les corps sont ensuite entreposés dans le sanctuaire, où seuls les prêtres sont autorisés à pénétrer. Ce qui s'y déroule est tenu secret.
Il n'y a ni messes, ni prières, ni hymnes en vue de charmer le dieu. Parfois, un fidèle peut avoir une entretien privé avec un prêtre, mais la situation n'est pas fréquente.
Il semblerait que les Sans-Visage, membres du culte, soient chargés de contrats pour délivrer la « bénédiction » du dieu Multiface contre rémunération. Mais ils considèrent leurs victimes comme marquées par le dieu Multiface, et se refusent à les juger. La mort infligée implique des prières et des sacrifices préalables.
Il n'y a ni messes, ni prières, ni hymnes en vue de charmer le dieu. Parfois, un fidèle peut avoir une entretien privé avec un prêtre, mais la situation n'est pas fréquente.
Il semblerait que les Sans-Visage, membres du culte, soient chargés de contrats pour délivrer la « bénédiction » du dieu Multiface contre rémunération. Mais ils considèrent leurs victimes comme marquées par le dieu Multiface, et se refusent à les juger. La mort infligée implique des prières et des sacrifices préalables.
LES LIEUX
Le lieu principal de ce culte est à Braavos. Il s'agit d'un immense temple nommé la Demeure du Noir et du Blanc.
LES TÊTES IMPORTANTES
Les personnes communiquant ce culte sont nommés des Prêtres. Les prêtres sont peu nombreux et assistés de quelques acolytes et domestiques. Ils portent des robes à coules mi-partie noires à droite et mi-partie blanches à gauche caractéristiques, celles des acolytes ayant les couleurs inversées par rapport à celles des prêtres et étant dépourvues de coule. L'ordre de ces prêtres est aussi connu sous le nom des Sans-Visages.
LES SPECIFICITES
Les spécificités sont très nombreuses.
On note chez les prêtres une dénaturation complète de la personne. En effet, une personne change du tout au tout afin de ne devenir à la fois plus personne et à la fois tout le monde. La personne s'y prêtant devra oublié qui il était et qui il aurait du être.
Comme dans certains cultes, l'on répète deux phrases. L'un dira Valar Morghulis, l'autre répondra Valar Dohaeris.
Les adeptes du dieu Multiface semblent avoir pour but d'offrir la mort (le « don » ou la « bénédiction » du dieu Multiface) en présent aux individus qui ne souhaitent plus vivre. C'est pour cela que peu de leurs prêtres sont des femmes, celles-ci étant censées amener la vie, elles ne peuvent, selon cette philosophie, tenir un double rôle. Leur temple à Braavos, la Demeure du Noir et du Blanc, accueille dans une atmosphère paisible les personnes qui recherchent cette bénédiction. Ces personnes peuvent s'y recueillir auprès de l'une de leurs divinités et trouver une mort douce en buvant un liquide sombre qui est mis à leur disposition.
Le don du dieu peut aussi être fait à une personne désignée par une autre aux serviteurs du dieu. Peu importe les mérites ou les méfaits de cette personne, car le dieu Multiface n'est pas un juge, et distribue son don à tous les hommes. Ses serviteurs envoient alors l'un des leurs, qui ne doit connaître ni la victime, ni le commanditaire, pour faire ce don, sans être détecté (y compris par la victime elle-même), ni causer la mort d'une autre personne. De tels « contrats » semblent requérir d'importants sacrifices personnels ou des fortunes importantes selon la cible.
De plus, il semblerait que les Sans-Visage soient liés à un système de dettes, remboursant chaque vie volée au dieu Multiface par une autre.
On note chez les prêtres une dénaturation complète de la personne. En effet, une personne change du tout au tout afin de ne devenir à la fois plus personne et à la fois tout le monde. La personne s'y prêtant devra oublié qui il était et qui il aurait du être.
Comme dans certains cultes, l'on répète deux phrases. L'un dira Valar Morghulis, l'autre répondra Valar Dohaeris.
Les adeptes du dieu Multiface semblent avoir pour but d'offrir la mort (le « don » ou la « bénédiction » du dieu Multiface) en présent aux individus qui ne souhaitent plus vivre. C'est pour cela que peu de leurs prêtres sont des femmes, celles-ci étant censées amener la vie, elles ne peuvent, selon cette philosophie, tenir un double rôle. Leur temple à Braavos, la Demeure du Noir et du Blanc, accueille dans une atmosphère paisible les personnes qui recherchent cette bénédiction. Ces personnes peuvent s'y recueillir auprès de l'une de leurs divinités et trouver une mort douce en buvant un liquide sombre qui est mis à leur disposition.
Le don du dieu peut aussi être fait à une personne désignée par une autre aux serviteurs du dieu. Peu importe les mérites ou les méfaits de cette personne, car le dieu Multiface n'est pas un juge, et distribue son don à tous les hommes. Ses serviteurs envoient alors l'un des leurs, qui ne doit connaître ni la victime, ni le commanditaire, pour faire ce don, sans être détecté (y compris par la victime elle-même), ni causer la mort d'une autre personne. De tels « contrats » semblent requérir d'importants sacrifices personnels ou des fortunes importantes selon la cible.
De plus, il semblerait que les Sans-Visage soient liés à un système de dettes, remboursant chaque vie volée au dieu Multiface par une autre.
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La Religion des Sept
Sept qui ne font qu'Un
LES BASES
La religion des Sept, ou la Foi, est l'actuelle religion principale des Sept Couronnes. Elle fut importée à Westeros depuis la région d'Andalos par les Andals il y a près de quatre mille ans et a peu à peu remplacé au sud la religion des anciens dieux autrefois respectés par les enfants de la forêt et les Premiers Hommes. Il semble que désormais la moitié sud de Westeros soit le seul territoire où cette religion soit pratiquée, et c'est à Port-Réal que se trouve le Grand Septuaire de Baelor, où réside le Grand Septon.
La religion des Sept est caractérisée par un culte rendu à sept divinités qui ne sont que les sept aspects d'une divinité unique. Le symbolisme du chiffre sept est omniprésent et l'étoile à sept branches est le symbole le plus répandu de cette religion qui possède une structure fortement organisée et hiérarchisée.
La religion des Sept est caractérisée par un culte rendu à sept divinités qui ne sont que les sept aspects d'une divinité unique. Le symbolisme du chiffre sept est omniprésent et l'étoile à sept branches est le symbole le plus répandu de cette religion qui possède une structure fortement organisée et hiérarchisée.
LES PRATIQUES
Tout dépend de la hiérarchie de cet ordre. Car dans cette hiérarchie bien détaillée chacun a son rôle, qu'il faille bénir, apporter la parole des Sept, apprendre ou bien s'occuper des défunts, des mariages, des pauvres.
Il est de coutume de solliciter les Sept en invoquant les sept aspects de la divinité à sept reprises.
Le signe de l'étoile est un mouvement de la main pratiqué pour invoquer silencieusement les Sept.
Le baptême consiste en une onction par les sept huiles, généralement dans un septuaire. Le nouveau-né est alors nommé.
Le mariage suit également un rituel particulier :
Les péchés ne peuvent être jugés que par le Père. Cependant, la rémission de ces fautes peut être obtenue par la repentance, la pénitence et l'absolution par la confession donnée par un septon. Une forme particulièrement humiliante de pénitence, réservée aux femmes, est la marche d'expiation.
Il est d'usage de déposer, après un enterrement, un cristal sur la sépulture.
Il est de coutume de solliciter les Sept en invoquant les sept aspects de la divinité à sept reprises.
Le signe de l'étoile est un mouvement de la main pratiqué pour invoquer silencieusement les Sept.
Le baptême consiste en une onction par les sept huiles, généralement dans un septuaire. Le nouveau-né est alors nommé.
Le mariage suit également un rituel particulier :
- Le Mariage:
- La forme la plus aboutie des mariages est celle qui unit le roi des Sept Couronnes à sa reine. Si les unions dans la noblesse ou les gens du commun n'ont pas le faste ni la complexité des rituels des mariages royaux, ils semblent toutefois suivre la même structure.
Le mariage est généralement précédé le matin par un petit déjeuner pris séparément par les deux époux au sein de leurs familles respectives, les membres mâles de celle de l'épouse semblant toutefois assister au repas de l'époux. C'est à cette occasion que les cadeaux de noces sont offerts aux mariés.
La cérémonie religieuse semble prendre place à midi, dans un septuaire. La future épouse, vêtue d'un manteau aux couleurs de sa maison, est amenée devant l'autel par son père (en cas d'absence de ce dernier, son suzerain ou un proche parent le supplée). Le mariage est concrétisé par l'échange des consentements entre époux : « Par ce baiser, je vous engage mon amour et vous prends pour mon seigneur époux. » déclare l'épousée, et son fiancé lui répond « Par ce baiser, je vous engage mon amour et vous prends pour ma dame épouse. ». Le septon (le Grand Septon en personne dans le cas des mariages royaux qui prennent place au Grand Septuaire de Baelor) élève alors son cristal à sept faces et prononce la formule « En ces lieux, au regard des dieux et des hommes, je déclare solennellement que X et Y sont mari et femme, une seule chair, un seul cœur, une seule âme, à présent et pour jamais, et maudit soit qui se mettrait entre eux. ». Les époux s'embrassent, et l'époux pare les épaules de sa promise d'un manteau aux couleurs de sa propre maison, symbolisant ainsi son acceptation dans sa nouvelle famille et le fait qu'il remplacera désormais le père de l'épousée. La fin de la cérémonie est marquée par des vœux de félicité exprimés tour à tour par les personnes ayant assisté à la cérémonie.
La cérémonie religieuse est suivie d'un banquet auquel sont conviés les proches des deux époux, voire même la noblesse locale dans le cas des mariages entre nobles. Ce repas est l'occasion de réjouissances et de libations lors desquelles les participants renouvellent leurs vœux de bonheur aux époux.
Ce repas se clôt par la cérémonie du coucher au cours de laquelle les deux époux sont chacun amenés par les convives de l'autre sexe à leur chambre nuptiale. Le trajet jusqu'à la chambre est l'occasion de nombreuses réflexions et blagues grivoises alors que les deux époux sont progressivement dévêtus par l'assistance. Ils pénètrent ainsi nus dans la chambre du coucher. Il arrive parfois que les draps ayant accueilli leur nuit de noces soient montrés au petit matin afin d'attester de la virginité de l'épousée (quand il s'agit de ses premières noces). Le coucher scelle les noces, le mariage pouvant être considéré comme caduc si les époux n'ont pas couché ensemble.
Les péchés ne peuvent être jugés que par le Père. Cependant, la rémission de ces fautes peut être obtenue par la repentance, la pénitence et l'absolution par la confession donnée par un septon. Une forme particulièrement humiliante de pénitence, réservée aux femmes, est la marche d'expiation.
Il est d'usage de déposer, après un enterrement, un cristal sur la sépulture.
LES LIEUX
Les lieux sont très nombreux puisque c'est la religion principal dans Westeros. Le siège de la foi des Sept se situe à Port-Réal depuis la conquête d'Aegon le Conquérant. Le neuvième roi Targaryen, Baelor le Bienheureux, leur bâtit même un immense septuaire au cœur de la ville, sur la colline de Visenya.
LES TÊTES IMPORTANTES
LES SPECIFICITES
Les spécificités sont assez classique, par delà ces sept personnalités chez les dieux ( Le père, la mère, l'aïeule, le guerrier, le ferrant, la jouvencelle et l'étranger) qui ne sont en réalité qu'un seul et unique dieu, les Sept prônent l'égalité sur la Terre, et l'humilité.
La religion des Sept fait appel à la notion de péchés (opposés aux vertus positives incarnées par les Sept) et de confession. Si tous les hommes sont considérés comme des pécheurs, le culte ne semble toutefois pas évoquer la notion de péché originel. Comme il est écrit dans L'Étoile à sept branches : « sept enfers attendent les pécheurs qui ne se repentent pas». Toutefois, si l'homme qui se repent voit ses péchés absous, il doit néanmoins payer pour ses crimes : « les péchés peuvent être pardonnés, mais les crimes doivent être néanmoins punis ».
De plus, la religion des Sept fait appel à la notion d'immortalité de l'âme, les morts semblant être conduits par l'Étranger auprès du Père pour être jugés, puis atteindre une béatitude éternelle dans les sept cieux ou au contraire être voués à l'un des sept enfers.
Dans la religion des Sept, en tout cas au sein des religieux les plus stricts, la femme est vue comme un être naturellement enclin à la luxure.
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Les Anciens Dieux
Le chêne se souvient du gland, le gland rêve du chêne, et la souche vit en tous les deux
LES BASES
L'expression « anciens dieux » (ou « dieux anciens ») caractérise, pour les adorateurs de la religion des Sept, les divinités sans nom adorées par les Nordiens, les Paludiers et les sauvageons d'au-delà du Mur (ces derniers les appelant tout simplement les dieux). Ce sont les anciennes divinités des Premiers Hommes qu'ils ont empruntées aux enfants de la forêt suite à leur installation à Westeros. Au sud du Neck, après la chute des royaumes des Premiers Hommes sous les coups des Andals, leur culte a été remplacé par la religion des Sept. Quelques rares maisons héritières des traditions des Premiers Hommes rendent encore un culte aux anciens dieux, telle la maison Nerbosc. Malgré la forte prédominance de la Foi, le culte des anciens dieux est toujours officiellement protégé par le trône de Fer, comme en témoignent les documents officiels dans lesquels le roi des Sept Couronnes s'engage à « protéger les nouveaux dieux et les anciens ». Dans le Nord, le culte des anciens dieux est dominant (particulièrement chez les clans des montagnes du Nord), et leur puissance est réputée encore importante au-delà du Mur.
LES PRATIQUES
Tout comme la religion des Sept, les anciens dieux réprouvent l'esclavage, le non respect des lois de l'hospitalité, l'inceste et le parricide. Dans le passé (avant la Conquête), des sacrifices humains aux anciens dieux ont été pratiqués : des prêtresses (des femmes âgées) égorgeant des captifs à l'aide de serpes de bronze, pour que leur sang nourrisse le barral, ou les entrailles de sacrifiés éventrés étant suspendues aux branches de ces arbres.
Les pratiquants du culte des anciens dieux ne semblent pas particulièrement intolérants envers les autres religions, la religion des Sept étant tolérée et pratiquée dans le Nord. Cependant, la débauche des rituels et des objets de culte de la Foi fait parfois l'objet d'un profond dédain de la part d'un culte aussi épuré et intimiste que celui des anciens dieux.
Il n'y pas d'office hormis le mariage et le décès, en effet, on estime que la relation entre les dieux et l'homme est intime. Les rêves, le vent, les feuilles, tout peut être interprété comme un signe des dieux.
LES LIEUX
Les anciens dieux sont partout. L'ancien mode de vie des enfants de la forêt laisse supposer un culte proche de la nature qui est interprété à tort comme un culte rendu aux arbres par les pratiquants des autres religions. Les dieux sont partout présents dans la nature, avec laquelle ils ne font qu'un : ils sont dans les rochers, la terre, les rivières, les animaux. Après leur mort, les esprits humains les rejoignent et sont à l'abri de toute souffrance. Néanmoins, il existe des lieux particuliers de ce culte construit par les hommes et les enfants de la forêt. Parmi les lieux sacrés de la religion des anciens dieux, on peut citer l'Île-aux-Faces où fut établi le pacte entre les enfants de la forêt et les Premiers Hommes, ainsi que Noblecœur qui était l'un de leurs anciens sanctuaires.
LES TÊTES IMPORTANTES
Les personnes communiquant ce culte sont nommés les Prêtres. Il n'y a pas d'offices particuliers outre que le mariage et aux serments, qui se passent devant les Barrals. La communication entre les dieux et l'homme est une chose intime, il n'y a donc pas de Grand prêtre ou autre grande personne de cette religion.
LES SPECIFICITES
Pour les personnes adeptes de cette religion, l'enfer n'est pas chaud mais si froid que l'hiver. Un hiver sans fin.
Les anciens dieux sont anonymes. Ils n'ont pas de noms ni caractéristiques particulières comme dans les autres cultes, ils ne sont pas personnifiés, ils n'ont pas d'apparences. S'ils sont plusieurs, ils n'ont ni fonction ni charge particulière.
Tout lieu possède ce que l'on appelle un Barral, souvent dans les bois sacrés.
Les anciens dieux sont anonymes. Ils n'ont pas de noms ni caractéristiques particulières comme dans les autres cultes, ils ne sont pas personnifiés, ils n'ont pas d'apparences. S'ils sont plusieurs, ils n'ont ni fonction ni charge particulière.
Tout lieu possède ce que l'on appelle un Barral, souvent dans les bois sacrés.
- Qu'est-ce qu'un Barral:
- Les barrals sont les arbres emblématiques du Nord. Ils ont des feuilles pourpres ou violettes à cinq lancéoles, une sève rouge sang et un tronc d'un blanc proche de celui des os. Ils se rencontrent en bosquets de deux ou trois sujets maximum, du moins au sud du Mur ; au nord, dans la forêt hantée, il existe un bosquet de neuf barrals, à proximité de la porte de Châteaunoir.
Mais leur caractéristique principale est d’avoir généralement, pour les plus anciens, un visage taillé dans l'écorce de leur tronc (arborant en général une expression sévère, voire irritée). Ces visages ont été créés par les enfants de la forêt et les vervoyants, des enfants de la forêt dotés de pouvoirs surnaturels qui pouvaient voir à travers leurs yeux. La tradition nordique prétend qu'il est impossible de mentir devant un barral et ils sont les témoins des mariages dans le Nord.
Les barrals restent très présents au nord du Neck (y compris sur Skagos) où ils sont les arbres-cœurs des bois sacrés, représentants des anciens dieux. Il y en a aussi en bosquets dans la forêt hantée (dont un cercle de neuf, portant chacun une face scultée avec une expression différente, à moins de deux heures de cheval de Châteaunoir). Ils ont en revanche presque tous été coupés par les Andals dans la partie sud du continent, excepté dans l’Île-aux-Faces, sur le lac de l'Œildieu, où a été conclue la paix entre Premiers Hommes et les enfants de la forêt. On peut aussi trouver un barral dans le bois sacré de la forteresse d'Harrenhal, dans celui de Vivesaigues et de Corneilla (mais ce dernier n'a plus donné de feuille depuis mille ans, les Nerbosc prétendant qu'il a été empoisonné par les Bracken), dans le Jardin de Pierre de Castral Roc, dans les ruines des Murmures, ainsi qu'à Accalmie et à Villevieille, dans la Citadelle des mestres au château appelé la Corbinière de l'île aux Corbeaux.
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Date d'inscription : 08/08/2021Infos personnage
Les moins connus
Tous les hommes doivent mourir. Tous les hommes doivent servir.
LES AUTRES CULTES
Bien évidemment, il existe nombreuses autres cultes à travers Westeros et Essos, plus ou moins connus.
Il en existe chez les Dothrakis, qui ont leur propre culture et croyances.
La chèvre Noire à Qohor, souvent aussi vu comme une des facette du dieu Multiface.
Il en existe chez les Dothrakis, qui ont leur propre culture et croyances.
La chèvre Noire à Qohor, souvent aussi vu comme une des facette du dieu Multiface.
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